marseille

« On garde aussi dans un dépôt de cette ville un poison mêlé de ciguë que l’on donne à quiconque fait valoir devant le conseil des Six-Cents (tel est le nom du sénat) les motifs qui lui font désirer de mourir. À cet examen préside une virile humanité qui ne permet pas de sortir légèrement de… Lire la suite marseille

atteinte méchante

Non à « l’atteinte méchante à l’autorité de l’État » De quoi rire : « l’atteinte méchante »… Sauf qu’il n’y a pas de quoi rire . (Texte piqué du site du Gang des Vieux en Colère) Le projet de nouveau Code pénal, voté en session plénière de la Chambre ce jeudi 22 février, inclut à l’article 548 une infraction… Lire la suite atteinte méchante

langue hostile

Une langue peut-elle être hostile ? Un langage ou un idiome, si. Si, comme on le lit parfois, des gens se sentent « chez soi » dans une langue, il doit y avoir aussi des langues dans lesquelles on ne se trouve pas bien. Une bonne partie du phénomène woke a à voir avec la création d’un langage… Lire la suite langue hostile

une morale supérieure

Est-ce que cela surprend vraiment que le président des États-Unis se rende en Israël le 18 octobre pour offrir un soutien militaire supplémentaire à un régime qui n'a aucun scrupule à commettre des massacres de civils à Gaza ? Cette offre à hauteur de plusieurs milliards de dollars aurait-elle vraiment consterné les milliers de Palestiniens de… Lire la suite une morale supérieure

du yiddish palestinien

Au cours des cent dernières années, trois -ismes ont tenté de détruire la langue yiddish : le nazisme, le communisme et le sionisme. Pourtant, aujourd'hui, le yiddish est une langue mondiale. Partout dans le monde, des personnes le parlent ou l'écrivent quotidiennement, de Montréal au Cap, de l'Argentine au Japon. Il jouit également d'une popularité… Lire la suite du yiddish palestinien

cosmopolitisme

« On ne peut pas reprendre à notre compte la stigmatisation du « cosmopolitisme » comme le faisait Schitlowsky au début du vingtième siècle, qui a une connotation très droitière voire antisémite désormais. » Se revendiquer de cosmopolitisme, un stigmate ? Ne s’agirait-il pas plutôt d’une conscience politique contemporaine, voire d’une mission morale, comme le suggère de nos jours la philosophe Seyla Benhabib ?