C’est surtout dans les réserves naturelles que la tragédie se déroule vraiment. C’est là en effet que les ONG de protection environnementale ont depuis longtemps sorti le grand jeu à convaincre des communautés réticentes de pasteurs et d’éleveurs à partager leur aménagement avec les animaux sauvages. Il fallait bien alors que ces communautés renoncent à leurs moyens de vivre et à leur identité basée sur l’élevage. Pour les environnementalistes le paysage n’appartiendrai pas aux hommes, mais …
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